C’est au calme, au fond d’une impasse et tout près du jardin qui jouxte sa maison d’habitation, à Quimper, que Charlotte a décidé d’implanter son loft pour y aménager un institut de beauté et une onglerie. Récit…
Charlotte, 36 ans, adore fréquenter les boutiques de déco. C’est dans l’une d’elles qu’elle découvre le magazine gratuit Tendances. « J’y ai lu un article consacré à My Garden Loft. Le design des studios de jardin a tout de suite attiré mon œil : ça m’a beaucoup plu et c’est ce qui nous a décidé à faire cette acquisition » relate-t-elle.
Un projet fonctionnel et rapidement mené
Esthéticienne, Charlotte rêvait depuis longtemps d’aménager son institut de beauté tout près du jardin qui jouxte sa maison. « Je souhaitais que ce projet, très fonctionnel, soit indépendant de notre habitat. Il fallait aussi que les travaux aillent vite et qu’ils ne mettent pas deux ans à se réaliser. La solution proposée par My Garden Loft réunissait tous ces critères : c’est pourquoi nous l’avons choisie » explique-t-elle.
Pour comparer les prestations et les prix, Charlotte avait d’abord contacté plusieurs entreprises spécialistes des chalets de jardin, notamment un concurrent de My Garden Loft : « Il nous a fait des plans mais tout était très standardisé et nous n’avions aucune possibilité de moduler les espaces. Et sa proposition était également moins qualitative » remarque-t-elle.
La visite de l’atelier s’est révélée déterminante
Charlotte contacte My Garden Loft en décembre 2022. Au bout du fil, Antoine de Fommervault, le co-dirigeant de l’entreprise, la convie aussitôt à visiter l’atelier de Locminé (56). Rendez-vous est pris en janvier 2023. « Cette visite nous a convaincus, mon mari et moi, car elle nous a permis de voir comment sont conçus les lofts sur la partie technique, notamment au niveau de l’isolation. Nous avons décidé de travailler avec My Garden Loft à ce moment-là. »
La conception du loft est rapide : elle est bouclée en quinze jours. « En fait, j’avais déjà un institut de beauté ailleurs. Je connaissais donc mes besoins et je savais où placer les prises électriques et les éclairages. J’ai d’abord établi un plan sommaire à main levée. Il a été repris ensuite sur ordinateur avec des cotes. Nous avons ajusté les fenêtres en lien avec My Garden Loft. Tous nos échanges se sont déroulés exclusivement par mail, ce qui fait gagner du temps. »
My Garden Loft a géré le permis de construire avec le service d’urbanisme
Le permis de construire est déposé en mairie de Quimper mi-février 2023. « À part quelques précisions que nous avons dû apporter au service d’urbanisme, tout s’est très bien déroulé. Une personne de My Garden Loft en charge de notre dossier a géré les choses directement avec la mairie de Quimper. Nous avons bien respecté le PLU et n’avons connu aucune difficulté particulière » sourit Charlotte.
Entièrement construit en atelier, le loft de Charlotte a été posé par une grue le 28 juin dernier, soit six mois après les premiers échanges avec l’entreprise locminoise. Un délai rapide qui englobe la conception, les démarches administratives, la pose du loft et son raccordement aux réseaux (eau, électricité, eaux usées).
Le loft permet de bien séparer vie professionnelle et vie privée
Charlotte est très satisfaite : « Je n’ai que quelques mètres à franchir pour aller travailler. Le loft permet de bien séparer le domaine professionnel de la vie privée. Et comme il est facilement visible depuis la rue, les clientes le repèrent facilement. Elles y accèdent sans passer dans la partie privée du jardin qui donne de l’autre côté. Donc tout s’intègre très bien avec notre habitation principale ».
Et qu’en pensent les clientes ? « Elles aiment beaucoup le loft, son concept et sa déco. Je suis assez proche d’elles et toutes me disent être très contentes du résultat ».
L’institut de beauté pourra se transformer en logement étudiant
Le loft de Charlotte mesure 9 m par 3,50 m. Il offre un espace de 28 m² utiles. Une pièce principale fait office d’accueil et d’espace onglerie. À côté se trouve une petite cabine dédiée aux soins du visage et à l’épilation. Une troisième partie est occupée par une salle de bains pourvue de toilettes suspendues, d’un lavabo surmonté d’un miroir et d’une douche à l’italienne.
« C’est là que je lave et que je désinfecte tous mes instruments. La douche pourra me servir si je décide de développer les soins du corps. Mais ce loft a aussi été pensé dans le but d’en faire autre chose : si j’arrêtais mon activité professionnelle, dans quelques années, il pourrait être transformé en petit logement étudiant ou bien en location saisonnière… La solution de studio de jardin de My Garden Loft est très qualitative : on peut vraiment faire du sur-mesure en concevant les plans de A à Z. C’est ce dont j’avais besoin pour mon entreprise » conclut Charlotte.
Un budget maîtrisé pour conjuguer économie et écologie
Au total, la jeune femme a payé 12 000 euros pour les travaux d’aménagement préparatoires du sol (plots pour recevoir le châssis du loft et tranchée pour les raccordements aux réseaux).
Le loft lui est revenu à 65 000 euros, soit 77 000 euros investis pour travailler près de chez soi : un privilège pas si cher, comparativement à l’investissement requis par une maison traditionnelle, et qui permet de gagner du temps et de limiter ses déplacements.
Une façon habile de conjuguer économie et écologie.
